Cette installation est un hommage à l’histoire picturale : des peintures rupestres jusqu’au street art contemporain.

Cette histoire est avant tout le fait d’individus ayant la volonté de laisser leurs marques sur un mur, pour le signer ou pour critiquer leur société.

Ces peintures pouvaient représenter la migration des animaux, faire office de journal de chasse ou bien encore à but cultuel, mais elles n’ étaient en rien réalisées à des fins touristiques.

Avec humour, je propose ici une compression temporelle de cette pensée et de cette histoire via l’élaboration de trois fresques reprenant des éléments de la pop-culture et de l’histoire de la peinture.

Réutilisant des techniques picturales ancestrales, j’intègre de surcroît des textes extraits du Terrier de Kafka, de La Pensée Sauvage de Claude Lévi-Strauss et de Totem et Tabou de Freud.

Critique et pastiche sur l’archéologie touristique qui a récemment donné lieu à la copie de la grotte Chauvet, cette installation perdure dans ma problématique artistique qu’il n’importe plus de visiter le réel, sa copie est suffisante.

This installation is a tribute to the pictorial history from the cave paintings to contemporary street art.

This story is primarily committed by individuals who wanted leaving their mark on a wall, signing or criticizing their society.

These paintings could represent the migration of animals or hunting newspaper office or even to worship purpose, but they were not made for tourism.

With humor, I propose here a temporal compression of this thought and this story via the development of three murals with elements from pop-culture and the history of painting.

Reusing traditional painting techniques, I integrate in addition any extracts texts from Kafka's Terrier, Claude Levi-Strauss' The Wild Mind  and Freud's Totem and Taboo.

Criticism and parody on the tourism archeology which recently resulted in a copy of the Chauvet cave, the installation continues my artistic thought that no one visits the real, its copy is sufficient.